En fait, la question centrale de cette étude est bel et bien celle d’un « bon enseignement », ou encore celle d’établir chez le jeune une « dynamique constante de l’apprentissage ». [Jospin, 1991, p. 13] Le travail prend appui sur les expérimentations quotidiennes vues en cours, sur les réactions des élèves, leur enthousiasme, parfois leur ennui ou leur fatigue, et les documents élaborés en sont le produit. La recherche est en quelque sorte issue d’une observation permanente de l’activité des élèves travaillant dans des ontextes spécifiques.
Ces observations, la collecte des données et leur analyse se font de façon simultanée. Comme les objets analysés ne sont pas fixes et prédéfinis, il est parfois utile de revenir en arrière afin de ne pas perdre de vue la question de recherche : Promouvoir
l’apprentissage en profondeur grâce au logiciel LATEX.
Après le brassage des concepts théoriques et du logiciel LATEX à la base de mon étude, le travail de candidature porte donc tout naturellement sur la création de textes, dont le premier chapitre sur l’analyse mathématique se veut un exemple concret. Cette partie a pour objet d’être un outil de travail autonome du jeune qui veut acquérir de nouvelles connaissances et compétences.
Le module de formation initiant au logiciel LATEX a été réalisé devant un groupe d’enseignants et une classe de 2e du Lycée Aline Mayrisch. Avant d’espérer que l’utilisation du logiciel LATEX ne devienne une réalité dans les programmes scientifiques de l’enseignement secondaire luxembourgeois, ne faut-il pas donner goût aux professeurs d’utiliser ce logiciel en mettant en évidence les avantages multiples dans le cadre de leur travail quotidien.