Les avocats sont à la mode dans le monde occidental. Outre leur saveur délicieuse, ils présentent de nombreux avantages pour la santé et le bien-être de l'homme. Mais leur production industrielle nuit à l'environnement et aux populations locales.
L'avocat est un fruit à noyau à la texture crémeuse qui pousse dans les climats tropicaux. Contrairement aux autres fruits qui se composent principalement de glucides, les avocats ont une consistance inhabituelle en raison de leur teneur élevée en graisses saines.
Les avocats proviennent principalement du Mexique (la production est d'environ 6 millions de tonnes par an), suivi de la Colombie, de l'Indonésie, du Brésil et du Kenya.
Les avocats sont très beaux, ont bon goût et présentent de nombreux avantages nutritionnels. Ils contiennent des vitamines liposolubles moins fréquentes dans d'autres fruits, ils ont des niveaux élevés de vitamines B5, B6, K et E, de protéines et d'acides gras insaturés. Un avocat contient, en moyenne, deux fois plus de potassium qu'une banane.
Mais les avocats ne sont pas écologiques !
Le problème environnemental des avocats n'est pas très différent de celui d'autres aliments comme le café, l'huile de palme, le sucre, la farine complète ou le soja. Les avocats sont également cultivés en monoculture, ce qui signifie que les mêmes avocatiers poussent sur le même terrain année après année, pendant de nombreuses années.
Cette technique agricole de masse est à long terme très nuisible à l'environnement et rend la production d'avocats non durable. Les plantations en monoculture laissent le sol avec moins de nutriments et plus vulnérable aux maladies, ce qui rend nécessaire l'utilisation de nombreux pesticides et engrais. Ces deux produits contaminent généralement non seulement les sols, mais aussi la biodiversité environnante.
Mais ce qui rend vraiment la production d'avocats non écologique, c'est la quantité d'eau qu'elle consomme. Selon certaines études, les avocats font partie des trois cultures qui causent le plus de stress hydrique dans leur région de production et les recherches de l'UNESCO montrent qu'ils ont une empreinte hydrique moyenne mondiale de 1981 m3/tonne. À titre d'exemple et de comparaison, les cultures de raisins ont une empreinte hydrique de 608 m3/tonne, ce qui signifie que les avocats ont un très fort impact sur l'eau.
Cela ne signifie pas que nous devons boycotter les importations de certains fruits ou d'autres aliments. Il s'agit plutôt d'une bonne raison de cesser de traiter des aliments comme l'avocat comme la dernière mode et de cesser de consommer quotidiennement des aliments étrangers comme s'ils étaient produits, échangés et distribués localement.
Il faudrait plutôt les consommer plus modérément et de temps en temps, ce qui réduirait la demande et donc l'offre et contribuerait à lutter contre l'impact environnemental de la production d'avocats.
C'est pourquoi nous nous appuyons sur de nombreuses alternatives et choisissons des cultures qui poussent localement et ne consomment pas autant d'eau.
Avocados sind der neueste Trend in der Ernährung der westlichen Welt. Abgesehen von ihrem leckeren Geschmack haben sie viele Vorteile für die menschliche Gesundheit und das Wohlbefinden. Doch ihre industrielle Produktion schadet der Umwelt und der lokalen Bevölkerung.
Die Avocado ist eine Steinfrucht mit cremiger Konsistenz, die in tropischen Klimazonen wächst. Im Gegensatz zu anderen Früchten, die hauptsächlich aus Kohlenhydraten bestehen, haben Avocados aufgrund ihres hohen Gehalts an gesunden Fetten eine ungewöhnliche Konsistenz.
Avocados stammen hauptsächlich aus Mexiko (die Produktion beträgt etwa 6 Millionen Tonnen pro Jahr), gefolgt von Kolumbien, Indonesien, Brasilien und Kenia.
Avocados sehen gut aus, schmecken hervorragend und haben viele ernährungsphysiologische Vorteile. Sie enthalten fettlösliche Vitamine, die in anderen Früchten weniger häufig vorkommen, einen hohen Gehalt an den Vitaminen B5, B6, K und E, Eiweiß und ungesättigten Fettsäuren. Eine Avocado enthält im Durchschnitt doppelt so viel Kalium wie eine Banane.
Aber die Avocados sind nicht ekologisch!
Das Umweltproblem bei Avocados unterscheidet sich nicht wesentlich von dem bei anderen Lebensmitteln wie Kaffee, Palmöl, Zucker, Vollkorn oder Soja. Auch Avocados werden in Monokulturen angebaut, was bedeutet, dass Jahr für Jahr und über viele Jahre hinweg dieselben Avocadobäume auf demselben Land wachsen.
Diese Anbaumethode ist auf lange Sicht sehr umweltschädlich und macht die Avocado-Produktion nicht nachhaltig. Monokulturen führen dazu, dass der Boden weniger Nährstoffe enthält und anfälliger für Krankheiten ist, so dass viele Pestizide und Düngemittel eingesetzt werden müssen. Beides kontaminiert in der Regel nicht nur die Böden, sondern auch die umliegende Artenvielfalt.
Was die Avocadoproduktion jedoch wirklich nicht umweltfreundlich macht, ist die Menge an Wasser, die sie verbraucht. Einigen Studien zufolge gehören Avocados zu den drei Kulturen, die in ihrem Anbaugebiet den größten Wasserstress verursachen, und die Forschung der UNESCO zeigt, dass sie im weltweiten Durchschnitt einen Wasserfußabdruck von 1981 m3/Tonne haben. Zum Vergleich: Weintrauben haben einen Wasserfußabdruck von 608 m3/Tonne, was bedeutet, dass Avocados einen sehr starken Einfluss auf das Wasser haben.
Dies bedeutet nicht, dass wir die Einfuhr bestimmter Früchte oder anderer Lebensmittel boykottieren sollten. Sehen Sie es stattdessen als einen guten Grund, warum wir aufhören sollten, Lebensmittel wie Avocados als den letzten Schrei zu behandeln und ausländische Lebensmittel täglich so zu konsumieren, als ob sie vor Ort produziert, gehandelt und vertrieben würden.
Vielmehr sollten sie in Maßen und von Zeit zu Zeit konsumiert werden - dies würde die Nachfrage und damit das Angebot verringern und dazu beitragen, die Umweltauswirkungen der Avocado-Produktion zu bekämpfen.
Deshalb setzen wir auf viele Alternativen und wählen Pflanzen, die lokal wachsen und nicht so viel Wasser verbrauchen.
Les avocats sont à la mode dans le monde occidental. Outre leur saveur délicieuse, ils présentent de nombreux avantages pour la santé et le bien-être de l'homme. Mais leur production industrielle nuit à l'environnement et aux populations locales.
L'avocat est un fruit à noyau à la texture crémeuse qui pousse dans les climats tropicaux. Contrairement aux autres fruits qui se composent principalement de glucides, les avocats ont une consistance inhabituelle en raison de leur teneur élevée en graisses saines.
Les avocats proviennent principalement du Mexique (la production est d'environ 6 millions de tonnes par an), suivi de la Colombie, de l'Indonésie, du Brésil et du Kenya.
Les avocats sont très beaux, ont bon goût et présentent de nombreux avantages nutritionnels. Ils contiennent des vitamines liposolubles moins fréquentes dans d'autres fruits, ils ont des niveaux élevés de vitamines B5, B6, K et E, de protéines et d'acides gras insaturés. Un avocat contient, en moyenne, deux fois plus de potassium qu'une banane.
Mais les avocats ne sont pas écologiques !
Le problème environnemental des avocats n'est pas très différent de celui d'autres aliments comme le café, l'huile de palme, le sucre, la farine complète ou le soja. Les avocats sont également cultivés en monoculture, ce qui signifie que les mêmes avocatiers poussent sur le même terrain année après année, pendant de nombreuses années.
Cette technique agricole de masse est à long terme très nuisible à l'environnement et rend la production d'avocats non durable. Les plantations en monoculture laissent le sol avec moins de nutriments et plus vulnérable aux maladies, ce qui rend nécessaire l'utilisation de nombreux pesticides et engrais. Ces deux produits contaminent généralement non seulement les sols, mais aussi la biodiversité environnante.
Mais ce qui rend vraiment la production d'avocats non écologique, c'est la quantité d'eau qu'elle consomme. Selon certaines études, les avocats font partie des trois cultures qui causent le plus de stress hydrique dans leur région de production et les recherches de l'UNESCO montrent qu'ils ont une empreinte hydrique moyenne mondiale de 1981 m3/tonne. À titre d'exemple et de comparaison, les cultures de raisins ont une empreinte hydrique de 608 m3/tonne, ce qui signifie que les avocats ont un très fort impact sur l'eau.
Cela ne signifie pas que nous devons boycotter les importations de certains fruits ou d'autres aliments. Il s'agit plutôt d'une bonne raison de cesser de traiter des aliments comme l'avocat comme la dernière mode et de cesser de consommer quotidiennement des aliments étrangers comme s'ils étaient produits, échangés et distribués localement.
Il faudrait plutôt les consommer plus modérément et de temps en temps, ce qui réduirait la demande et donc l'offre et contribuerait à lutter contre l'impact environnemental de la production d'avocats.
C'est pourquoi nous nous appuyons sur de nombreuses alternatives et choisissons des cultures qui poussent localement et ne consomment pas autant d'eau.
Les avocats sont à la mode dans le monde occidental. Outre leur saveur délicieuse, ils présentent de nombreux avantages pour la santé et le bien-être de l'homme. Mais leur production industrielle nuit à l'environnement et aux populations locales.
L'avocat est un fruit à noyau à la texture crémeuse qui pousse dans les climats tropicaux. Contrairement aux autres fruits qui se composent principalement de glucides, les avocats ont une consistance inhabituelle en raison de leur teneur élevée en graisses saines.
Les avocats proviennent principalement du Mexique (la production est d'environ 6 millions de tonnes par an), suivi de la Colombie, de l'Indonésie, du Brésil et du Kenya.
Les avocats sont très beaux, ont bon goût et présentent de nombreux avantages nutritionnels. Ils contiennent des vitamines liposolubles moins fréquentes dans d'autres fruits, ils ont des niveaux élevés de vitamines B5, B6, K et E, de protéines et d'acides gras insaturés. Un avocat contient, en moyenne, deux fois plus de potassium qu'une banane.
Mais les avocats ne sont pas écologiques !
Le problème environnemental des avocats n'est pas très différent de celui d'autres aliments comme le café, l'huile de palme, le sucre, la farine complète ou le soja. Les avocats sont également cultivés en monoculture, ce qui signifie que les mêmes avocatiers poussent sur le même terrain année après année, pendant de nombreuses années.
Cette technique agricole de masse est à long terme très nuisible à l'environnement et rend la production d'avocats non durable. Les plantations en monoculture laissent le sol avec moins de nutriments et plus vulnérable aux maladies, ce qui rend nécessaire l'utilisation de nombreux pesticides et engrais. Ces deux produits contaminent généralement non seulement les sols, mais aussi la biodiversité environnante.
Mais ce qui rend vraiment la production d'avocats non écologique, c'est la quantité d'eau qu'elle consomme. Selon certaines études, les avocats font partie des trois cultures qui causent le plus de stress hydrique dans leur région de production et les recherches de l'UNESCO montrent qu'ils ont une empreinte hydrique moyenne mondiale de 1981 m3/tonne. À titre d'exemple et de comparaison, les cultures de raisins ont une empreinte hydrique de 608 m3/tonne, ce qui signifie que les avocats ont un très fort impact sur l'eau.
Cela ne signifie pas que nous devons boycotter les importations de certains fruits ou d'autres aliments. Il s'agit plutôt d'une bonne raison de cesser de traiter des aliments comme l'avocat comme la dernière mode et de cesser de consommer quotidiennement des aliments étrangers comme s'ils étaient produits, échangés et distribués localement.
Il faudrait plutôt les consommer plus modérément et de temps en temps, ce qui réduirait la demande et donc l'offre et contribuerait à lutter contre l'impact environnemental de la production d'avocats.
C'est pourquoi nous nous appuyons sur de nombreuses alternatives et choisissons des cultures qui poussent localement et ne consomment pas autant d'eau.